Une chose était sûre pour le surveillant, sa journée - qui pourtant ne venait que de commencer - était désastreuse. Comme tous les Lundi matins, à 6h00 tapante, Osuka commençait sa journée de facteur par le tri des lettres et autre au centre de distribution. Tout se déroula comme d'habitude et le surveillant était dorénavant prêt pour sa tournée. Il avait enfourné sa bicyclette et prit son sac, et ainsi commençait sa tournée. Une fois le sac vide, Osuka alla chercher le dépôt-relais qu'il avait assemblé ce matin même. Cependant en ouvrant la partie inférieure de la boîte aux lettres il n'y trouva absolument aucune lettres. Avait-il fait une erreur ? Non il était sûr d'avoir déposé son dépôt-relais où il fallait, afin que le facteur en automobile puisse le prendre. Le surveillant attendit une dizaine de minutes croyant à un retard de l'automobiliste, mais il n'arrivait pas. Osuka nu d'autre choix que de retourner au centre de distribution, il s'y informa sur le devenir de Fred - l'automobiliste - et on lui répondit qu'il était parti faire sa tournée comme d'habitude. Quant à son dépôt-relais il semblerait qu'il ai tout simplement... disparu. Le surveillant choisi donc de finir sa "journée" de facteur en traitant le courrier restant. C'était donc ainsi que le surveillant avait pu se retrouver un Lundi à la cafétaria, avant 12h30.
Le surveillant était arrivé à 11h30 à la cafétaria et avait prit comme à son habitude, une multitude de pains pour son déjeuner; ainsi que son éternel Ice-Tea et Cappuccino. Il avait commencé par finir d'une traite son cappuccino et cela faisait maintenant 30 minutes qu'il se ressassait les faits de ce matin. Espérant élucider le mystère de la disparition du dépôt-relais...
Puis soudainement il entendit une personne l’appeler. C'était Kaede-san, elle s'était assise à côté de lui et avait déjà commencé à manger.
"Oh ! Kaede-san ! Bonjour, je suis désolé, je ne vous avait pas vu."
Puis il se remémora la question de Kaede.
"Mais je vais bien en sinon. J'ai seulement eu quelques broutilles ce matin.
Et vous, Kaede-san, j'espère que vous allez bien."